Extraits du chapitre 11 : les rencontres
" Poussé à la transparence, l’authenticité et la franchise, le
pérégrin est censé rejoindre l’autre foncièrement, sans
filtre ni artifice,
et ce faisant, se construit les plus beaux
souvenirs pour l’après. "
"
Enturbanné, les chaussures à la main, il se promène pieds
nus sur le bitume, quelque part du côté de Gubbio, sur la
Via di Francesco.
Je crois comprendre qu’il est d’origine
indienne. Tout en le prononçant, avec son index, il m’écrit
son nom dans le creux de la main.
Je ne retiens que
l’initiale ! Nous l’appellerons Monsieur D. "
" J’en ai vu des équipages, mais un comme celui-là, jamais !
Dans un bruit de ferraille inouï, un cycliste, suant à grosses
gouttes, pédale laborieusement en tractant un… caddie de
supermarché, tel quel, avec ses petites roues ! "
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